La chevauché sur Drake avait était assez courte, quelques dizaines de minute rien de plus. La seul chose que le jeune homme regrettait était de ne pas connaitre les lieux, sinon ca se serait régler a coup de téléportations de groupe, enfin… Peu importe Drake s’était accomplit de cette tache avec joie. Il volait presque librement, même si le décollage s’était avérer plutôt chaotique. Il était vraiment impressionnant maintenant, et dire qu’il allait encore grandir. Le jeune homme en avait la larme à l’ œil, son bébé volait désormais de ses propres ailes. Bientôt, il maitriserait les flammes, et alors il serait adulte. Une des étapes les plus importantes pour un dragon. Oui les enfants grandissent trop vite. Le jeune homme sortit enfin de ses rêveries. Tien, la citée était si proche ? Enfin si on pouvait dire que c’était une citée, à vrai dire il s’agissait selon le jeune homme plus d’une petite bourgade que d’une capitale. Enfin comparait a Paris, c’était même un hameau. Décidément, il ne pouvait pas s’en empêcher a repensé à son monde, le sien, pas tous ces univers parallèles. Mais en dix années, tant de chose avait changé. - Et bien c’est donc cela la capitale, c’est fou je n’imaginais pas cela comme cela. Mais puisque je suis coincé ici, j’aurais peut être dut prendre mon lecteur cd. Mais ca c’est une autre histoire. Je me demande jusqu'à ou nous sommes impliqués dans l’heroic fantasy .
Le jeune homme réfléchissait a haute voix, espérons, espérons que personne ne l’ai entendu sinon cela allé lui causé des problèmes. Et même si la fuite était son activité principale ses derniers temps, cela le fatigué. Il voulait un pied à terre, histoire de souffler un moment. Mais puisque la balance cosmique était entre ses mains. Et bien tant pis pour les vacances. Mais vu comme ca tournait, les vacances, s’il en aurait, et bien ca serait dans au minimum dans 50 ans. Il ne le savait pas encore, mais effectivement, elle n’aurait lieu de dans 50 ans.

Le Soleil se couchait sur l'immense capitale du clan du feu, la dardant de ses derniers rayons rouges. Les rues étaient déjà vides, empruntes de l'air doux du soir. La brume autaumnale laissait percevoir des choses que jamais quiquonque n'aurait vu dans d'autres conditions.

Dans ces ruelles presques désertes, une femme marchait. Silencieuse, un petit sac de cuir d'agneau autour de la taille. Une sacoche pour être précis. Elle marchait, ses cheveux blonds retenus à l'arrière par un cordon de tissu orné de deux perles de nacre de mer, comme les boucles d'acier qui retenaient deux mèches de chaque côté de son visage. Les deux mèches étaient ensuite ramenées en une boucle parfaite dans la masse de sa chevelure dorée. La jeune femme fixait tout de ses yeux d'un vert profond. Elle portait un chemisier blanc aux reflets bleutés entrouverts sur le devant, aux manches bouffantes sur les poignets et resseré au niveau de la taille pat une large bande de cuir brun ressemblant à un corset et noué sur le devant. Elle portait également un pantalon de tissu d'un brun brut, tissé mais pas teint donc, dans une toile douce et moulante, épousant les formes de son corps.

Elle portait également de hautes bottes de cuir brun sombre. Si on l'avait vue ainsi, on aurait pu dire qu'elle avait une "tenue de cavalière".

La jeune femme se dirigeait d'un pas silencieux et décidé vers les murailles quand quelque chose derrière elle attira son attention. Un buit, un murmure... Elle adoucit subitement son regard, le rendant enfantin, innocent, et se retourna, face aux portes...

( kahéna, je suis vraiment désolé de pas t’avoir prévenue, mais est ce que ca te dérangerais d’accueillir quelqu’un. )


Le jeune homme, continué a arpenté les rues du petit village qui servait de capitale a la nation du feu. Bon, petit était peu être un peu fort mais le jeune homme se fichait de cela pour l’instant il n’avait qu’une seul chose a l’esprit se reposer. Dormir, une seul vrai nuit serait pour lui comme une délivrance, et pourtant cela faisait déjà plus de 10 ans qu’il ne dormait presque plus. Dans chaqu’un de ses rêves, se finissait en cauchemar. Heureusement le sang de démon lui permettait de ne plus avoir besoin de dormir. Mais, ce n’était pas une fatigue physique mais morale qui le faisait souffrir.

*Pourquoi fallait-il que ca tombe sur moi, il en fallait un certes mais pourquoi moi. Quel dieux peut être aussi cruel pour faire ca a un ado, le priver de sa famille, de ses amis. Il a des jours ou je voudrais rendre ma fonction, ma fonction de maitre des enfers, d’élus, de protecteur de l’humanité. Des jours où je voudrais bien tous les envoyez balader mais je n’en ai pas le droit.*

Le jeune homme continué a avancé toujours dans ses pensées. Il n’avait même pas remarqué la jeune femme qui était devant lui, a dix mettre, cinq mettre, deux mettre, un mettre, et pam. Le voila qui entre en collision avec la jeune femme. Elle qui n’avait rien demandé. Mais il était comme ca, toujours dans ses pensées. Enfin il se releva brusquement, puis tendit une main a la jeune femme, qu’ il venait de percuté.
- Je suis désolé, sincèrement désolé. Je suis complètement dans la lune en se moment, même quelqu’un avec un baladeur sur les oreilles ne pourrait pas être aussi distrait que moi.La parole de trop, il venait de s’en rendre compte. Mais pourquoi fallait il qu’il parle trop. Iffrit lui avait pourtant assez répétait de ne jamais parler avant de réfléchir mais maintenant c’était trop tard. Il ne pouvait pas remonter le temps, ni laissait la jeune femme par terre. Il recommenca donc ses excuses.

- Je suis vraiment désolé, vous n’avez rien de cassé ?

Speranza eut le temps de se retourner et de se retrouver face à face avec un jeune homme aux cheveux noirs avant de tomber. Elle aurait pu l'éviter, mais ne fit que bouger imperceptiblement de façon à tomber en douceur à terre. Elle évita ainsi un contact prolongé avec l'étranger. Elle roula sur le côté une fois au sol pour s'écarter de lui, bien que cela paraisse un geste naturel pour quiquonque aurait observé la scène.

Le jeune étranger lui tendit une main troublée, qu'elle ne saisit pas. Elle se releva souplement, d'un seul geste rapide, prenant uniquement appui sur ses pieds. La délicatesse calculée de sa chute l'avait laissée intacte. Elle planta ensuite ses yeux verts dans ceux du jeune homme. Elle arborait une expression enfantine, tout aussi innocente qu'avant sa chute mais une lueur d'agacement brillait au fond de ses prunelles.

Elle vit également une centauresse près du jeune homme. Compagnons de voyage ? Speranza regarda ensuite le jeune homme qui se répendait en excuses. Il employait des mots que Speranza ne comprenait pas, ce qui la fit tiquer. Elle grava ces informations dans sa mémoire et répondit en esquissant un sourire illuminé, la rendant ravissante

-"Ce n'est rien, ce n'est rien, ne vous excusez pas pour si peu !"

Elle lui sourit et recentra son regard incroyablement naïf sur le groupe entier

-" Serait-ce offusquant de vous demander le but de votre venue ? Je peut peut-être vous aider."

Elle sourit, son visage fin ressemblant à celui d'une jeune adolescente normale, ce qu'elle n'était pas vraiment...

Il l’avait sentit, peu après avant ca chute, la jeune femme s’était délicatement déplacé. Elle aurait bien plus l’éviter, mais elle n’avait rien fait. Bizarre, maintenant elle avait un avantage sur lui, elle avait entendu des choses que jamais il n’aurait du entendre. Mais peut importe. La jeune femme s’était relever toute seule, montrant une grande agilité. De plus son sens démoniaque était en éveille, il sentait quelque chose, une menace, ou plutôt on un pouvoir, un puissant pouvoir émaner de la jeune femme. Une source comme cela, il n’en croisé pas souvent. Oui cette jeune femme n’était pas une simple humaine, mais ce qui l’intéresser c’était ce pouvoir.

Oui, son sang se m’était a bouillir, et il dut se maitriser pour ne pas faire ressortir le démon en lui, se sang, avait une odeur esquisse, de puissance, de pouvoir. Il ne poussait cependant pas la consommé. Ca serait contre tous les efforts qu’il avait faits. Il retomberait dans l’état ou il était avant. Il se maitriser donc, du mieux qu’il pouvait mais ne pouvait s’empêchait de lorgné sur la jeune femme. Le sang, le pouvoir, toutes ses sensations lui revenait. Il réussit cependant a articulé une phrase plus ou moins correcte.
- Nous recherchons un endroit pour nous restauré, eu je veux dire nous reposer. Et je dois avouer qu’une bonne douche ne serait sans doute pas du luxe.
Il observa encore la jeune femme, oui elle avait des traits elfique ca s’était sur. Mais comment une elfe peut elle possédait un telle pouvoir, surtout que ce pouvoir il entait sur n’était pas un pouvoir bénéfique. Même si les effluves étaient très très peu concentrés. Il aurait cette jeune femme a l’œil. Et peut être même elle serait peu être son encas. Il chassa cette pensée de ca tête tous de suite.

Speranza remarqua que le jeune homme qui venait de la percuter la regardait étrangement. Elle lui sourit avec une fausse timidité. Elle le jaugeait. Elle ne savait pas pourquoi il la fixait ainsi mais était bien déterminée à le savoir... Elle écouta alors sa demande et dit

-"Je peux vous ammener dans une auberge non loin si vous voulez. Ce n'est pas très cher et c'est bien tenu. Cela vous convient ?"

Elle sourit, préférant fixer la centauresse de peur que son agressivité naturelle lui fasse durcir le regard face à l'homme et face tomber sa facade à l'eau...

Speranza regardait du coin de l'oeil l'homme changer de couleur à vue d'oeil. Elle ne savait pas ce qui se passait, mais elle n'était pas extrénement pressée de l'apprendre... Une énergie tourbillonante semblait s'échapper par salves du corps de l'Homme. Il semblait se battre pour les controler. Cette noirceur, cette sauvagerie que les effluves contenaient faisaient écho en elle... Elle ne se départit pas pour autant de son sourire

-"Suivez-moi..."

Elle se retourna, exposant son dos aux inconnus. Toutefois, "exposé" n'était pas le terme exact. En effet, comme en signe de défi, un carquois de cuir hérissé de dizaines de hampes de flèches elfiques était accroché dans le dos de la jeune femme. Elle se mit à marcher d'un pas si normal, si lourdaud et maladroit comparé à la souplesse dont elle avait fait preuve tout à l'heure que même un abruti aurait aisément pu comprendre qu'elle n'était pas vraiment ce qu'elle prétendait être, ce que son attitude donnait comme image, car son corps souple aux muscles déliés criait le contraire... Toujours était-il que dire ce qu'était la jeune elfe aurait été impossible en si peu de temps. Mais où était donc passé son caractère impassible et agressif ? Ses airs supérieurs ? La Speranza du lac, celle qui luttait pour un tigreau affamé et se dressait de toute sa force face à tout elfe ou humaine qui se présentait avait-elle définitivement disparu lors du combat fatidique contre Kara ?

HJ: avez-vous déjà vu... une fille pas capable de connecter deux idée et de faire le lien soit:
week-end= RPG
ave ça je devrais pouvoir arrêter de zaper ^^


Après un galop effréné et le vol gracieux et puissant du dragon. La ville plaisait à qui savait regarder. Les pavés lisses formaient de rue élégantes et au loin la splendeur de palais en faisait presque mal aux yeux. La nuit tombante camouflait mal les mur puissants et les tours délicates. La centaure n'était pas revenu dans cette citée depuis le mariage de la reine Kara. Elle repensa à la réticence des gardes à la laisser entrer ainsi que Sembor. Pour dire ni l'un ni l'autre n'avait l'air inoffensif. Sur son visage se lisait une sauvagerie non pas du à un danger quelconque mais à sa liberté qui irradiait d'elle. Oui elle était libre comme un oiseau. Et cette liberté se voyait dans sa façon de bouger, de parler et de contempler le monde. Sa voix suave pouvait prendre des tonalités froides et agressives, son regard d'encre pouvait devenir menaçant. Malgré tout cela sa liberté pouvait attirer comme un aimant de plus elle n'avait pas toujours l'air désagréable. Elle vit bien l'elfe qui ne réagissait pas à leur approche malgré le bruit sourd que chaque sabot faisait en touchant le sol. Son étonnement quand Julyan la percuta était tel que la jeune femme ne réagit pas. Puis un mot accrocha sont attention quand Julyan s'excusa. «Même quelqu'un avec un baladeur sur les oreilles ne serait pas si inattentif». Comment ça un baladeur sur les oreille? Jamais un humain ou tout autre créature se promenant ne tiendrait sur les oreille de qui que ce soit, à moins qu'il ne parle d'une fée ou d'une toute petite bête mais Kahéna ne voyait pas le lien. Elle frontail ses sourcils mais ne dit rien. Elle allait se présenter à l'elfe par politesse quand son aura la stoppa net. Tout le reste se passa assez vite. Quelque chose en Julyan s'agita un peu plus que sensiblement. Ce quelque chose ne lui plaisait vraiment pas. Son sabot noir vernis tapa sur le sol exprimant sa nervosité. Nervosité qui grandie quand le jeune homme vira à un étrange bleu. Elle allait avoir une petite discussion avec lui, c'était sur. Elle n'avait pas dit un mot. Elle ne faisait ni confiance à la nouvelle venue et moins qu'avant à Julyan. Il y avait une chose qu'il ne lui avait pas dit. Quand l'elfe se mit en marche, la centaure (on dit une centaure ou une centauresse?)la suivit. En abaissant son torse humain pour être à la hauteur de Julyan elle lui chuchota d'une voix inflexible.

Il me semble qu'il y a deux trois choses que tu dois me dire.

Elle savait pertinemment qu'il ne voulait pas forcément lui parler mais il n'avait plus le choix. Sans un mot elle se transforma en humaine. Les directeurs d'auberge n'apprécient pas vraiment de voir quelque chose de son gabarit prêt à briser tout les meubles entrer dans leur établissement. Son 1m 60 ou 63 lui donnait une allure bien moins menaçante que son corps hybride. Mais Julyan ne s'y firait sans doute pas. Il la connaissait sous sa véritable forme. Kahéna se rendit compte que personne n'avait décliné son identité. Chose étonnante. Elle demanda donc poliment à l'elfe bien que ne lui accorda qu'une confiance mitigée:

Au fait, nous ne vous avons pas demandé: Quel est votre nom?

Une moindre politesse surtout qu'elle les aidait à trouver une auberge.

HJ/ On dit centauresse ^^ mais on peut dire les deux =P

Speranza regarda la centauresse se changer en humain. Elle avait entendu parler de ces êtres mystérieux aux pouvoirs et à la sagesse réputés, et bien qu'elle ait croisé quelques rares représentants de ce peuple hybride, elle n'avait jamais eu à regarder une émanation de leurs pouvoirs. Elle fixa ainsi la jeune femme qui se tenait à présent devant elle, bien plus petite qu'elle-même, qui mesurait un bon mètre 75, de son regard étrangement bêta alors qu'elle la jaugeait intérieurement. Elle décida qu'il vaudrait mieux ne pas se mettre à dos la créature...

L'elfe entendit sans difficulté ce que disaient les deux jeunes gens, ses oreilles effilées aux aguets. Elle répondit ensuite à Kahéna d'une voix enjouée

-"Je me nomme Speranza, du moins c'est ce que l'on m'a dit..."

Et sans rien ajouter elle se retourna et continua à avancer

HJ:Bon ça me permettra de varier les reprises nominales

La couleur de Julyan s'accentuait mais à un rythme modéré. Avec un sourire mi figue mi raisin elle se dit qu'au moins il ne manquait pas d'originalité. Sembor poussa un grondement presque menaçant en vers il ne savait trop quoi. En effet ce n'était pas Julyan qui éveillait la nervosité instinctive de Kahéna autant que du tigre blanc. C'était ce qu'il y avait en Julyan. Sous sa forme humaine les formes de gourmandes de la centaure ressortaient un peu plus sans pour autant lui donner du ventre. Juste les anche plus larges et autres petit détails mais passons x). Cette morphologie lui donnait mal l'air menaçant que promettaient ses yeux en cet instant furibonds. Son agacement venait de celui de la chose qui faisait surface. Comme la rage étrange qui pouvait parfois la rendre violente et sadique. Sauf que cette rage était à peu près normal c'était juste comme si elle pétait un plon. Ce qui ressortait de Julyan n'était pas humain. C'était bleu, noir et vraiment pas joli. Kahéna fit se constat rendu enfantin par ironie. Elle devait être un aimant à difficulté. Elle passsa sur le sinon qui résonnait sombrement. Au moins il lui parlerait. Puis L'elfe se présenta. Le fameux «du moins c'est ce que l'on m'a dit.» lui arracha un petit soupir. Pourquoi les gens faisaient toujours dans le compliqué et le vague? Elle était sage certes. Mais la sagesse n'indiquait à ses disciples de se rendre à la vérité par quatre chemins au contraire. Politesse oblige:

Enchantée Spéranza. Je suis Kahéna. L'auberge est-elle encore loin?

Marcher ne la dérangeait pas. Elle jeta un regard inquiet à Julyan se demanda si il tiendrait le coup et comment expliquer sa couleur. Heureusement les rues étaient désertes et aucun curieux ne les dérangea.

Voila que Drake était de plus en plus inquiet. Il ne pouvait pas s’en empêcher, pauvre bête, il aurait voulu prendre son maitre sur son dos, l’envoyer faire un tour en dessus des nuages, mais pour l’instant c’était impossible. Il devait ne pas intervenir, il devait simplement attendre pour l’instant. En attendant son maitre continué, a tourné au violet. Enfin au noir, ou au bleu. Mais peu importe, il y avait autre chose à faire pour l’instant que de ce plaindre. D’ailleurs, il fallait peu être remercié la sympathique jeune femme qui jouait les guides. Apparemment elle répondait au nom de Speranza.

- Enchanté, je suis Julyan, et la jolie couleur violette que je suis je entrain de prendre, je pense que vous l’avez compris ce n’est pas vraiment ma couleur habituelle. Mais c’est une autre histoire, et vous le saurez bientôt. En attendant, j’espère que l’auberge n’est plus très loin, sinon… Aïe.
Cette douleur, pire qu’une lance, au niveau du cœur. Voila, voila ce qui gagné, cette puissance, au prix de ce sacrifice. Il avait perdu, son cœur, l’organe était à présent en sécurité, mais il l’appelait. Comme la boisson, attire l’assoiffé, comme le pain attire l’affamé. Le pouvoir appelle le pouvoir. Et son cœur l’appelait. Source de sa corruption, mais aussi de la concentration de tous ce qu’il avait absorbés ces dix dernières années.

- Excuser moi, je suis désolé, il ne s’agit que d’un léger malaise. Mais cela me conforte que nous ferions mieux de trouver cette auberge.

Le jeune homme était assez mal à l’aise, comment a-t-il annoncé à la jeune centauresse ce qu’il était. Après tous, on ne dit pas, Bonjours, voila je suis le maitre démon d’un autre monde, et je vins ici histoire de finir mon entrainement et sauver un monde, sur la demande d’esprit de dragon. Il continué a avancer vers l’auberge, et bientôt, bientôt cela serais régler. Après serait il ou pas accepté, il ne le savait pas. De toute façon, si ce n’était pas le cas, peu importe il retournerait illico dans son monde.

La centauresse ne répondit rien. Même si elle l'avait voulue elle n'aurait pas su que dire. Étrangement elle s'offusqua en pensant que Julyan allait parler de cette histoire à Speranza. Elle ne faisait pas confiance à la belle femme blonde. Peut être moi qu'à Julyan l'or de son arrivée. Dès le moment où il gémit elle s'approcha de lui en sans le laisser protester glissa un bras par dessus ses épaules. Elle le tenait fermement malgré sa petite taille humaine. Peut être gardait elle une partie de sa force hybride? En cet instant elle aurait pu le croire. Le jeune homme semblait chanceler mais elle ne broncha pas. Si il avait tenté de reprendre son bras pour marcher seul, elle n'y avait pris garde mais ne l'avait pas lâché. Soudain une idée traversa ses pensées. Elle se demanda si c'était l'odeur de Spéranza qui l'avait ainsi secoué. Il avait peut être une partie vampire... à cette idée elle fronça ses délicats sourcils en espérant que si c'était ça, sa proximité ne le générait pas. Cependant son esprit renia vite cette idée: elle n'avait jamais vue de vampire devenir bleu/violet une fois affamé et puis du peu qu'ils s'étaient côtoyés, jamais son parfum boisé avec ce petit quelque chose de suave n'avait semblé le perturbé. Il n'avait donc pas (du moins elle espérait) de coté vampirique. Enfin à quelques mètres elle aperçue un établissement encore éclairé. Elle supposa vite que c'était la fameuse auberge. Speranza marchait toujours en tête de la petite troupe. Vu le temps qu'ils avaient mis, ils n'auraient que quelques heurs de sommeil, quatre ou cinq tout au plus. La centaure renifla dédaigneusement; elle pouvait supporter à peux près sans problèmes trois jour sans dormir mais un peu de repos serait loin de la gêner. Elle se demanda soudainement si elle aurait à laisser Sembor dans une écurie. Cette idée ne lui plaisait guère. D'un mot elle ordonna au vrou de se cacher dans le sac qu'elle transporté. Celui-ci si glissa tout enjoué, croyant à un nouveau jeu. Quand à Sembor il l'attendrait dehors et elle se débrouillerait pour le faire entrée.

Un bâtiment encore ouvert à cette heure de la nuit ne pouvait être que l’auberge en question. Bien tous ne se passer pas si mal apparemment. La jeune centauresse continué à le tenir par le bras, décidément il avait honte. Une chose qu’il n’avait pas connu depuis pas mal d’année. La jeune femme ne savait rien de lui, mais pourtant elle l’accepté. Bien, elle devait savoir peu importe ce qu’il se passerait ensuite. Cependant des fois, il ne pouvait s’empêchait de penser. Si sa vie n’était pas comme celle-ci, s’il n’avait jamais connu l’éther. Comment cela se serait il passer ? Aurait-il eu une vie normale ? Peu importe après tous cela n’aurait pas lieu. - Bien, l’heure approche, bientôt nous seront si oui ou non je serais assez fort. Assez fort pour survivre a mes propres démons. Je vous demanderai juste un léger service, n’intervenait pas, et si je ne suis pas capable de résister fuyez, sinon vous risquez votre vie. Et cela, je ne me le pardonnerais jamais.
Voila que du bleu, il tournait au noir. Un noir effrayant, la lumière elle-même ne pouvait pas s’en échappé. En comparaissant, la nuit était digne d’un feu. Oui ce noir était vraiment annonciateur de mauvaise nouvelle. Et cela même s’il ne le savait pas encore était le cas de le dire. Enfin peu être pas pour tous, mais le destin reste insondable pour nous autre mortelle.
Voila, il est bientôt temps, si vous voulez fuir, il est encore temps. Je vous le conseille même, la nuit croyait moi en comparaissons est une amie. Mais, vous avez le choix. Une liberté qui m’a était prise il y a quelque temps déjà mais ce sera une autre histoire pour l’instant. Dépêchons nous, enfin si vous voulez me suivre.
le jeune homme, d’un pas de plus en plus pressé avancé à grand pas vers l’auberge. Le bâtiment, un bâtisse ancienne avait beau être remplis tous dormais à poing fermé. Oui, les dragons d’or lui avait grandement facilité la tâche. Lui-même ne pouvait espérait mieux. Ainsi il serait à peu près, du moins l’espérait il tranquille. A vrai dire, il reconnaissait parfaitement l’essence magique qui trainait dans les lieux. Oui, IL l’avait toujours soutenu, et vue l’efficacité du sort tous ne se réveillerait que le lendemain matin. Il était tranquille pour le reste de la nuit.

- Merci mon vieil ami. Bien, apparemment tous est prêt pour le grand final, je vous prévins vous pouvez encore reculer. Surtout n’hésitez pas car, ce sera le dernier moment. Dans quelques minutes, je ne garantis plus rien.

La couleur de Julyan contrastait avec celle pâle, presque blanche de celle de Kahéna. Il se laissait maintenant soutenir sans broncher. Il semblait fixer l'établissement comme un refuge ou une clef principale. À ça première phrase elle ne réagit pas. À quoi bon tergiverser. Elle pouvait parler de la pluie et du beau temps mais pas de stupidités. Différence subtile entre inutilité et stupidité. Mais elle ne désirée pas débattre de se sujet là maintenant. Elle eut la brève impression que la peau qui était en contacte avec celle de Julyan noircissait légèrement mais elle l'ignora. Cependant devant le silence Julyan continua son petit discoure. Là elle s'énerva franchement. Cessa brusquement de marcher elle coupa la route à Julyan et planta ses yeux d'encre dans ceux charbons du jeune homme en le tenant fermement par le bras.

Espèce d'idiot! Tu me prends pour quoi? Un lâche ou bien quelqu'un de sans défense? J'ai 114 ans derrière moi et ce n'est pas toi qui va me faire fuir aujourd'hui. Retiens bien une chose de moi ou des centaure en général: je ne fuis et n'abandonne jamais.

Elle avait presque grondé ses phrases. L'explication était claire. Pour qui la prenait-il? Elle se remit en marche d'un pas rapide et sec avec toujours cette sauvagerie troublante. C'est sans doute en insistant tellement que Julyan l'avait décidé à rester. Au moins elle n'allait pas tarder à comprendre. Sans aucun avertissement elle repensa à Paige et la façon dont lui aussi l'avait énervée. Il était typiquement le genre de personne qui l'énervait avant même de dire quoi que ce soit. Et cette animosité n'était pas prête de se calmer puisqu'elle était réciproque. Tout deux se seraient mutuellement tués si Soyalova une sublime fée n'était pas intervenue. En pensant à la fée elle se demanda une fois de plus comment cette dernière pouvait manier les quatre éléments.

HJ/ désolée du reataard ><'

Speranza guida les deux jeunes gens à travers les ruelles baignées de la lueur violacée de la nuit tombante. Ils arrivèrent finalement à l'établissement. Elle repensa à la réaction de la centauresse quand à son nom. Elle ne savait rien d'autre que ce qu'elle avait apprit depuis son éveil, son nom lui-même n'était pas surement gravé en elle. Elle secoua imperceptiblement la tête et poursuivit sa route.

Une fois à l'intérieur, la lueur des chandelles dévoila la teinte plus que sinistre de la peau de Julyan. Il leur demanda de fuir, à elle et Kahéna. La centaure refusa violement. Speranza regarda l'altercation en silence, jusqu'au moment où ils se retournèrent vers elle.

L'elfe croisa les bras, tout le poids de son corps sur une jambe, l'autre en avant.

-" Je ne vois pas en quoi ce que tu abrite, quoi que ce fut, puisse m'importuner davantage que ma mémoire défaillante."

Elle disait cela, mais depuis la nuit même, cette "amnésie" n'était plus vraiment de rigueur... Son regard vert détaillait Julyan, et en elle grondait une énergie magique que son amnésie récente bridait encore.

Un geste héroïque oui, telle était la nature du geste de ces deux jeunes femmes, un geste fou, stupide, mais héroïque, peut on survivre a l’enfer ? Nous allons le découvrir dans quelques secondes.
- Bien, je ne vais pas pouvoir le contenir plus longtemps, préparez vous a fuir si ca tourne mal.
Le jeune homme était désormais noir, la lumière était absorbé par celui-ci, seule ses yeux d’un rouge irréelles luisaient mais se grenat ne signifié rien de bon. Voila maintenant il commençait à grandir, grandir, deux mettre cinquante. Comparait a lui, les deux jeunes femmes était désormais de pauvres petites filles. Le voila, maintenant plus rien ne pouvait l’arrêter, les enfers eu même était sur terre et rien ne pourrait arrêtait leurs faim. Cette forme instable prenait maintenant celle d’une gigantesque araignée, traqueuse toujours affamé. Et le repas était devant elle. Cependant avant cela il s’amuserait un peu. Après tous 20 qu’il était enfermé sous le contrôle de se gamin. Il avait le droit de jouait.

- Mes proies sont proches, et je vais pouvoir me régalé. Un merveilleux repas, moi qui ne suis pas sortit depuis près de 20 ans. Vingt longues années à attendre, et voici maintenant ce pouvoir. L’autre ne sera jamais assez puissant, pour me contrôlé, il est temps. Temps de repartir en chasse, mais d’abhorre je vais manger. Et vous êtes le repas. Mais je vais vous laissez un petit répit, j’aime que ma nourriture, se débatte son sang a ainsi un meilleur gout, alors battez vous. Puisque l’heure de votre mort arrive.

La tueuse était en marche, sans aucune pitié, il était comme cela désormais et ce repas s’annoncer délicieux. Du centaure, et de la demi-sirène, un plat de roi, de plus des énergies démoniaques dégager d’un de ces deux repas. Oui, de la puissance, bientôt il récupérerait son cœur, et alors, rien ne pourrait l’arrêtait, il serait le maitre. L’éther, ne serais plus rien, il absorberait comme les autres.

- La puissance, le pouvoir, la mort. C’est ce que je suis, je suis un démon, je suis le démon. Le général des enfers, la mort. Rien ne pourra échapper à mon pouvoir. HAHAHAHAHAHA.

Se rire, un rire a vous glacez le sang, la scène était horrible, tous était figé, seul cette horreur. Cette araignée de près de trois mettre, une veuve noir. Au poison létale, et avide de fluide vitale. Puis, une chose étrange se produisit, la bête grossissait, rapetissait. Oui une danse étrange rythmée par une mécanique interdite. Puis une voix, et une autre, un conflit de deux personnalités.

- Jamais, jamais je te laisserais reprendre le dessus, j’ai était cela trop de temps. Ton règne est révolu.

- Tu es trop faible, bien trop faible pauvre loque. Tu es seul, les dragons d’or ne sont pas la pour te sortir de mon emprise. Et je veux du pouvoir. Seul le pouvoir compte, toi tu n’est rien. Regarde malgré tes pitoyables efforts.

- Il a raison je suis trop faible, fuyait, vite.

- Il est trop tard, ce sont mes proies.

La bête de sa gueule crachait désormais un fil plus puissant que l’acier, et noir comme le charbon. Le fil des ténèbres. Toutes les issues était désormais condamné, et l’horreur s’approchait inexorablement de ses proies. Leurs seuls espoirs étaient de se battre, mais battre l’enfer était impossible. Il était trop tard.

La centaure prit sa forme hybride. Ce corps là était bien plus résistant. La force magique en était accrue mais elle ignorait que c'est la force magique que le démon flairerait. Le dernier avertissement de Julyan l'exaspéra même si elle se doutait que l'heur était grave. Son instinct animal le lui hurlait. Il lui hurlait de fuir ou de trouver une solution et vite. Même si elle arrivait à réfréner ses sentiments grâce à sa partie humaine. Il n'était pas question d'abandonner Julyan maintenant. Le corps de l'humain qui apparemment ne l'était pas vraiment devint noir et pris une forme hideuse. La centaure qui dépassait bien Spéranza se retrouva dominée par le démon. Elle empêcha tout sentiment de faire surface. Les démons qu'elle avait combattue il y a déjà un moment avait un petit quelque chose d'humain dans leur visage ou leur physionomie ou leur façon de se battre même si des fois il fallait vraiment chercher. Là il n'y avait rien. Juste une araignée géante. Le danger qu'elle dégageait était réel et quand la voix résonna sombrement la centauresse (décidément j'aime pas ce mot 8D) se figea un instant pour se ressaisir. Elle se campa fermement sur ses quatre sabots. Julyan sembla à un moment donné reprendre le dessus mais il fut vite vaincu. L'araignée cracha une sorte de toile. D'une vitesse inhumaine Kahéna écarta ses bras comme pour accueillir le fil mais il en était tout autre. Dans la noirceur de la nuit ses bras s'illuminèrent d'une lueur verte scintillante. Cela ne dura qu'une seconde avant que le sol ne gémisse. Dans un craquement sourd les pavés se déchirèrent alors que d'épais tronc se dressaient à une vitesse plus qu'étonnante. Épais, majestueux et inébranlables. Le mur végétal (mais bien plus résistant qu'un bois normal) semblait défier la veuve noire.

Hey l'insecte géant! Tu n'avait pas dit que tu voulait jouer avec nous? Ce n'est pas un TENTANT de nous engluer que ça va être drôle.

Pourquoi elle avait dit cela? Tout simplement parce que la rage déconcentre et si la veuve noire ne pensait plus qu'à un copieux repas et non à la maitrise de l'esprit de Julyan, ce dernier aurait une chance de reprendre les rênes. Et puis, la prochaine offensive n'aurait pas tardé donc autant tenter le tout pour le tout. Tout était calculé dans ses mots. Le terme d'insecte qui avait sonné comme une insulte et le tentant était lourd de sous-entendus. L'arrogance qu'elle affichait rehaussée d'un sourire narquois était loin d'égaler ses craintes intérieurs. Mais elle ne pouvait mourir de vieillesse alors autant tout faire pour ne rien regretter dans sa longue vie.

- Pauvre créature, vous n’êtes rien, et n’espérait pas que votre amis vous sauve il est en miette, réduit a l’état de larve, son esprit n’est rien, et ne vie que parce que j’ai besoin de lui. Quand à tes pauvres pins, ils seront le combustible qui me servira à me débarrasser de vous, une fois votre fluide aspirait. Oui rien n’empêche le repas du seigneur démoniaque, même si je suis encore faible, mon cœur me sera rendu. Peut importe l’éther sera mien, et alors.

La veuve contrairement a ce que l’on pensait ne se jeta pas a l’attaque elle voulait les voir souffrir, sentir leur peur, et pour cela rien de mieux que attendre que eux ce lance a l’attaque. Depuis vingt ans il attendait alors, il attendrait encore quelques secondes. Le temps de voir leurs attaques se fondre dans cette mare de ténèbres, voir leurs pathétiques efforts de survivre et puis le néant.- Croyez vous a une vie après la mort, car sinon vous ne serez plus rien, priez vos dieux, rien ne pourra vous sauvez. Je suis les ténèbres, je suis la puissance, je suis le mal.

Quelques choses dans cette verdure, non naturelle l’embêté, comme un moustique, vous vous empressez de vous en débarrasser, Alors ce fut, le cas. La bête cracha de sa gueule, un jet d’acide verdâtre, signe d’un puissant venin. Les pauvres plantes, bien que résistante les quelles premières secondes étaient désormais en train de fondre, comment fond un carré de chocolat dans un micro onde. Ainsi c’était la seule résistance dont elles étaient capable, pathétique, mais peut importe, il commencer à percevoir leurs peurs, leurs craintes, oui un futur repas en perspective, mais le sang a meilleur gout quand il est tiré d’une proie paniqué. La bête continué a craché des salves de poissons sur le sol, contraignant les jeunes femmes a reculé de plus en plus, si elles ne voulaient pas finir comme le magnifique arbres maintenant réduit a l’état de cure dent.

- Vous voyez, vous n’êtes rien. Battez vous, maintenant, car cela sera votre dernière bataille avant de périr dans les souffrances éternelles. L’enfer vous attend désormais, et dans la mort vous serez à moi.

L'elfe au cheveux blonds regardait la scène se dérouler avec curiosité et perplexité. Cette déferlante de force obscure qui courait hors de Julyan ne lui rappelait que trop bien ceraines périodes sombres de son histoire que son amnésie était pourtant censée lui avoir fait oublier. Alors que la centauresse était repoussée comme elle contre le mur par la furie de l'immonde créature, une tempète envahit ses bras. Une force que ses muscles ne reconnurent pas, qu'ils se tendirent pour contenir. Alors que l'acide rongeait les plintes à ses pieds, elle resta droie, les pieds comme posés sur un sol invisibles alors même que le sol à ses pieds venait d'être dévoré par le liquide agressif.

Speranza marcha ensuiteen direction de la grosse araignée et se dressa droite face à celle-ci. Elle se mit au niveau de celle-ci et planta ses yeux verts inexpressifs dans les yeux globuleux de la chose. L'elfe articula alors, le visage bien plus grave que tout à l'heure.

-"Notre liberté est trop belle pour que tu nous capture..."

Une brise pourtant imperceptible sembla soulever les deux longues mèches qui encadraient le visage de Speranza. Ses yeux semblèrent devenir bleutés, presque liquides, translucides. D'étranges larmes coulèrent de ses yeux comme si ils fondaient, et pourtant elle gardait son expression dure. Les gouttelettes s'écoulant de ses yeux devinrent torrent et ses yeux devinrent comme deux lacs uniformes. Une flaque incolore se forma alors aux pieds de l'elfe, mouilant jusqu'aux pieds du monstre. Alors que dans un accès de rage la créature lacéra violement Speranza d'une de ses pattes griffues, elle se retrouva face à un nuage de gouttelette, comme si elle avait cisaillé une sphère d'eau. La centauresse et le monstre se retrouvèrent seuls dans la pièce... Speranza avait disparu...

La bête se tourna alors vers la centauresse délaissée. Alors, une goutte tomba sur le sol dans un bruit de cristal. Un plissement la surface de l'eau, un bruissement de silence, une silhouette. Un torse nu qui se dresse comme jaillissant de l'eau, une peau pâle que la pureté de l'eau ne fait frémir, une peau dénudé liée à l'eau comme par de petites écailles bleues/vertes presque invisibles. Des cheveux lachés dans l'onde pure, des yeux à la pureté verte changeante... Speranza se dressait, exhibant les courbes de marbre de son torse de sirène. Ses mains blanches sortirent à leur tour de la fine flaque d'eau. L'elfe s'accrocha alors au dos du monstre, ses jambes masquées par une cascade d'eau ruisselante. Elle murmura quelques mots et alors des gerbes d'eau enlacèrent la bête et tels des étaus lui enserrérent les membres... La pression grandissait d'un instant à l'autre...

HJ: Après un bon nombre de brouillons vraiment affreux voici enfin un truc potable et encore -_-"


La centauresse approuva la réplique de Sprenza. Elle était libre comme l'air et le vent. Et rien ni personne ne pouvait la priver de sa philosophie.
Pas même un démon ou quelque chose se prenant pour le maitre des enfers.
La magie étrange de l'elfe opéra. Et très vite elle deviens elle même eau.
Quand le démon se retourna vers Kahéna puisqu'ils étaient apparemment seuls cette dernière banda son arc se préparant à tirer tout en se disant que les effets serraient moindres.

Allons bon! On va danser démon mais à ma façon.

Elle n'oubliait pas que derrière se corps hideux se cachait l'esprit vaincu de Julyan. La partie en bois de la flèche s'illumina d'un vert magique.
C'est alors que la sublime elfe réapparue. Un déclique se fit dans l'esprit de la centaure.
Sperenza n'était pas qu'une elfe. Elle avait certainement une part de sirène.
Mélange étonnant mais terriblement efficace.
Quand l'araignée fut prise dans l'étau aquatique Kahéna tira.
Dans un bruit sonore le silex de la flèche heurta la carapace du démon ne s'y enfonçant que peu.
Ce n'était pas grave; elle n'avait pas besoin de plus.
Se concentrant elle invoqua à elle une série de lianes qui soutinrent les filets d'eau.
Puis elle visualisa le bois de la flèche.
Du frêne. Lentement dans la chaire, le bois s'épaissit, se divisa en ramure.
L'arbre jadis mort prenait racine dans le démon.
Ça devait être douloureux. L'arbre divisait les muscle, tranchant les fibres pour se frayer un passage.
Les lianes gorgée de l'eau crée par Spéranza s'agrandir ressérant leur emprise pour immobiliser le démon.
Pas pour le blesser même si la pression des lianes (végétales comme aqueuses) devait le faire souffrir.
Soudain quelque chose dans l'air changea. Les cheveux de la centaure se soulevèrent presque au ralenti quand elle cherche du regard ce qui la perturbait à ce point...

- Je suis le maitre des enfers, la force impie, le mal. Vous n’êtes rien, je suis le mal. Je suis invincible maintenant même Nordzamu ne pourra rien. Sirène ou centaure, elfe ou humain, rien ne peux m’arrêté vous n’êtes rien. Insecte, vermine, vous n’êtes rien, je suis vos craintes, je suis votre corruption, je suis toute vos pires penchants. Vos magies ne sont rien, seul la lumière d’or peut me blesser et Nordzamu n’est pas la, mon règne peut commencer.
Ami lecteur, petite parenthèse, vous voulez savoir si vous êtes en présence d’une anti démoniaque ou d’un vilain voici quelques indications qui vous aiderons à reconnaitre ce type d’individu. L’entité démoniaque de basse est incapable de faire des faires des phrases construites, ne lui demandé donc pas de débat sur l’instabilité géopolitique du Monténégro au 19eme siècle. L’entité démoniaque de basse est incapable de parler d’autre chose que de la domination du monde, du pouvoir, et du réglisse : ainsi ne lui demandé pas quelle est la couleur qui s’accorde le plus avec vos yeux.
Dernière règle l’entité démoniaque n’est sensible que a l’arme ou au pouvoir que bien sur vous ne possédez pas, donc, si vous voulez toujours vous battre j’espère que vous avez prévus une bonne assurance^^. Mais revenons-en à notre ami la force maléfique.

- Je suis le mal, je suis le pouvoir (vous voyez il se répète…), et votre punition arrive, on ne retient pas la colère de l’enfer, maintenant vous allez connaitre la fureur des flammes infernales, colonnes des abimes.
L’entrave des lianes le laissé de marbres, à vrai dire, l’eau et les végétaux s’enfoncé comme un couteau s’enfonce dans du beurre, rien ne semblé avoir emprise sur lui, et puis peu importe même si cela avait était le cas, la créature venait de prendre feu, l’eau comme les végétaux était en train de disparaitre comme bientôt ces pauvres créatures disparaitre elles aussi.
- Votre liberté, vos envies, elles ne sont rien, elles ne valent rien, car maintenant vous êtes dans mon monde, vous allez bientôt rejoindre le néant.

Dans la pièce la chaleur augmenté de plus en plus, bientôt la pièce dépasser les 45, puis les 50 degrés, si personne ne faisait rien, leurs existences ce terminerais sur la carte de l’auberge, au menue steak de centaure et fricasser de sirène