Nom: Sir Alice Crew

Attention voilà venir... un vieux !!! (ça nous changeras !)
*Age : environ 40 ans âge humain (attention, cela est très approximatif, Alice a en réalité quelques siècle d'expériences derrière lui)
*Sexe: Masculin
*Race: Vampire pure souche
*Description: Alice est un grand homme mince d’un âge mur. Il porte selon son humeur une fine moustache et une courte barbiche, mais aime se rajeunir en se rasant de frais. Il est très préoccupé par son apparence. Toujours bien habillé, il peut difficilement passer inaperçu de par son attitude et son allure.


*Histoire:

Alice est né dans l’une des plus prestigieuses familles vampire des terres d’Endora. Leur puissance aussi bien que leur sang leur assurait une reconnaissance générale. Cela faisait si longtemps qu’il avait perdu tout contact avec ses parents qu’il ne se souvenait qu’à peine de leur traits, et les filets de voix qui peuplaient ses souvenirs étaient de plus en plus difficiles à saisir.
Il avait été élevé dans une atmosphère intime, loin de la grande demeure familiale ou vivait son grand-père et le reste de sa famille. Aimé mais éduqué sévèrement, il avait toujours été un élève sérieux et assidu, passionné de mathématiques et d’astronomie.
La poésie et la littérature l’ennuyait profondément, mais son père attendait de lui un travail constant et régulier alors il endura les leçons.
Ne fréquentant pas l’école du village près duquel ils demeuraient, il avait peu de relations avec les autres enfants de son âge. Cela n’était pas pour lui déplaire car il les trouvait insipides et crédules.
Ce mépris que lui inspirait les simples gens l’amenèrent à passer une adolescence retirée, loin de toute vie sociale.

Après plusieurs années passées dans les livres et les théorèmes, son père jugea qu’il lui serait bon de devenir actif. Il l’envoya donc auprès d’un lointain cousin qui, conseiller de roi, demeurait à la capitale.
C’est alors qu’un nouveau monde s’ouvrit à Alice. Peu timide et réservé, malgré le manque de pratique qu’il avait pour les relations humaines, il ne tarda pas à être constamment entouré d’un cercle d’amis composé de jeunes médecins, d’aristocrates et de scientifiques. Ouvert à la vie sociale mais pas au travail, Alice ne sut remplir les exigences de son père.
Peu lui importait cependant, celui-ci étant trop loin pour l’empêcher de s’amuser, et son cousin, de rang inférieur, ne pouvant que lui conseiller de reprendre son sérieux.
Bouillant de rage après avoir reçu une lettre vulgaire et provocante d’un fils qu’il ne reconnaissait plus, le père d’Alice débarqua un jour à la capitale, après une nuit de chevauchée à fond de train, en plein milieu du luxueux appartement loué à ses frais par son fils.
Alors que celui-ci avait près de 21 ans, il reçu la plus belle correction de sa vie.

Au cours des siècles qui suivirent, Alice reprit son sérieux. Intelligent, bon orateur, et par là-même, séducteur patenté, il sut se faire une place auprès des plus belles têtes couronnées. Son nom reconnu, sa fortune assise, il commençait, alors qu’il prenait de l’âge, à retrouver la morosité de ses jeunes années.
Durant le temps libre que lui laissait le rang de conseiller, magistrat, et médecin officiel, il aimait à courtiser les dames.
Pour cela il s’était repenché sur la littérature et la poésie auparavant abandonné, comprenant enfin l’intérêt de toutes ces belles phrases.
Il aimait le style outré et coincé des bourgeoises, leur bijoux, leur manières et leurs gloussements lorsqu’il leur chuchotait à l’oreille des mots inavouables.
Il aimait les jeunes nobles qui, élevées dans la rigueur de leur rang, rougissaient au moindre de ses regards.
Il aimait les paysannes, qui chacune étaient une surprise. Parfois farouche, parfois langoureuse, souvent pleines d’espoirs.

Mais toutes ses catégories avaient finies par le lasser, après des quelques siècles de pratiques, et même les femmes dévotes et mariées ne l’amusaient plus.
Parfois encore, parmi ces myriades d’inconnues, se détachaient un visage, plus marquant, plus intéressant.
Comme cette danseuse si jolie, et si jeune, qui un jour de réception l’avait séduit par son culot et sa grâce.
Ou cette jeune religieuse d’un couvent stricte où il aimait se rendre, car il y faisait de grosses donations, et où les jeunes femmes aspiraient au mariage au point de s’offrir au premier homme venu. Cette jeune fille qui, au lieu de céder comme temps d’autre à ses avances avait d’un coup ferme et froid, planté dans son coup un petit poignard ouvragé.
Ou encore cette petite fille de joie d’un hôtel de campagne ou il aimait venir se reposer. C’était au cours d’un nuit avec elle qu’il avait crut rencontrer sous les traits d’un jeune homme un fantôme du passé.
En effet, un instant, dans la petite pièce sombre de l’hôtel, il avait crus voir lever les yeux sur lui une jeune femme chez qui il avait, bien des années auparavant, demeuré pendant plusieurs mois. Son cheval s’était, au cours d’un voyage, blessé sérieusement à la patte, l’empêchant de continuer. Se rendant au village le plus proche on lui apprit que l’auberge la plus proche était encore loin, et malgré la nuit qui tombait, Alice n’avait aucune envie de dormir chez l’un des paysans. C’est alors qu’on lui indiqua une maison bourgeoise un peu plus loin sur la route.
Il fut surpris d’être reçu par une charmante jeune femme blonde, au teint frais et charmant. Son mari, jeune également, visiblement bourgeois, lui proposa l’asile. Ce qu’Alice accepta avec plaisir. Son cheval se remis dans la semaine, mais Alice avait noué de solide lien d’amitié avec les gens de la maison, et il apporta son aide au travaux du bourgeois.
Il resta donc plusieurs mois, occupé la plupart du temps à des travaux scientifiques, mais ne pouvant s’empêcher parfois, de tenir compagnie à la charmante épouse de son hôte.
Les traits de la jeune femmes revinrent brusquement à son esprit devant le jeune homme assit dans la pénombre ce soir là. Alice, décidant de dissiper le doute, voulut lui parler, mais la jeune fille de joie qui s’occupait de lui fit son apparition à cet instant. Ramené à des préoccupations plus terre à terre, il oublia rapidement le soucis.

Malheureusement, même ses aventures dans les hôtels de passes, ces hautes fonctions auprès des monarques, plus rien ne l’amusait…
Un jour, alors qu’il était occupé à discourir avec son coiffeur de la nécessité de punir le personnel de maison, il prit une décision importante.
Le lendemain, sa résidence vendue, ses affaires les plus encombrantes mises en sécurité et le personnel renvoyé, il partit, son paquet de cigarettes dans une poche, son briquet dans l’autre.



*Caractère: Alice est séducteur, charmeur, et charismatique. Cependant, il n’a rien d’égoïste. Il aime les femmes, et parfois recours à des moyens peu avouables pour les obtenir. Il est très cultivé et ne peut s’empêcher de se sentir supérieur à la plupart des gens, même s’il est suffisamment bien élevé et intelligent pour ne pas le montrer. Il lui arrive cependant de lier une véritable amitié avec des roturiers et de mépriser des nobles (cela lui arrive même souvent). Il a horreur des araignées.

Monture: un cheval (ou pas)
Signe spécial : aucun, sinon peut-être sa classe.

*Clan : Peu importe
Pouvoirs: … a voir…
*Côté: Neutre
*Classe: vampire play-boy sur le retour

*Code : code validé
*Infos meetic-endora.com : même s’il est inutile de le préciser, Alice est très peu fidèle.


(le prénom Alice n'est habituellement pas, je vous l'accorde, un prénom d'homme, mais cela peut-être le cas. Il est issu du nom germanique germanique Adalheidis qui signifie noblesse)

Re \o/
Moi je dis c'est Ewa =D
Un cheval ou pas? Plait-il? Mon incomprehension est totale =°

Hum... c'est simplement que Sir Alice est indifférent à sa façon de voyager. Parfois à pied, parfois à cheval, mais jamais le même.

Et non, c'est pas Ewa.
Si ça peut te donner un indice, c'est (je trouve) le plus normal de mes personnages pour l'instant.

Nyaaaah un vieux 8D
Comme quoi Lilith met que des gens classes dans son lit

Nuance, c'est Alice qui fait tomber les filles, et non l'inverse

Je penche pour Zein ^^

Idem^^

Je vois pas du tout pourquoi vous dites ça !

C'est ça ou pas? =>

Oui \o/

Mouhahaha j'suis trop forte \o/

bin moi je suis une pas douée è_é

c'est pas très grave en même temps...
moi j'aimerais juste savoir comment vous a mis la puce à l'oreille [hs: PO \o/] (en dehors des histoires méga-croisées de mes persos XD)

En premier lieu la citation de Lilith et le fait que ton bonhomme avait déjà été mentionné dans la fiche de Kara.
Et ensuite et peut être surtout même, ton style d'écriture ^^.

"Si ça peut te donner un indice, c'est (je trouve) le plus normal de mes personnages pour l'instant."

C'est ÇA qui m'a mis la puce à l'oreille

Moi au contraire ça ma embrouillé xD

Myanie a écrit:

"Si ça peut te donner un indice, c'est (je trouve) le plus normal de mes personnages pour l'instant."

C'est ÇA qui m'a mis la puce à l'oreille

Ahahaha XD
Comme quoi c'est bien vrai !


Pour les histoires, vous aurez aussi pu remarquer que celle-ci est croisée avec celle de Lilith aussi ^^
(et là, ça devient vraiment compliqué XD)

Je l'ai remarqué, mais j'y ai pas fait attention ....
Pas plus que ça en tout cas ^^"