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Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours]

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MessageSujet: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 12:56




    Informations générales:


    Nom: Kuro-uke
    Prénom: Myako
    Age: Agée. Oui, j'ai pas de chiffre en tête la, mais ça dépasse le siècle.
    Sexe: Féminin, comme toujours
    Race: Ange, mais pas un ange de tafiole.

    Description:


    Charismatique, magnifique. Ce sont les deux adjectifs qui viennent à l'esprit de ceux qui contemple cet ange. Particulièrement grande, du genre, le mètre quatre-vingt dix, elle impose ainsi sa présence... Elle fait pourtant particulièrement fragile à première vue, et son corps svelte et frêle cache en fait une force monstrueuse, qui surprendra plus d'un adversaire.
    Un voyeur qui aura eu la chance de la voir nue, et surtout s'il parvient à survivre pour s'en vanter vous raconterai les choses ainsi:
    "Dès que je la vis, se baignant sous la cascade, je fus soufflé par sa beauté, une femme fatale, il va sans dire... Je pris le temps de bien la détailler avant d'oser reprendre mon souffle: Mes yeux se posèrent sur ses jambes à la ligne pure, envoutante. Son grain de peau, entre l'albâtre et le léger mat, était un régal pour les yeux, on en aurait mangé! Remontant le long de ces magnifiques gambettes, le sang me monta à la tête quand je découvris sa descente de rein, à en faire damner un curé! Les divines courbes que j'avais devant moi! Quoiqu'il en soit, je ne pouvais m'arrêter en si bon chemin, et ce que j'avais vu en me prédisait que je n'allais pas être déçu par la suite...
    Je pus, à loisir, admirer les lignes de son dos, son ventre plat, à en faire pâlir de jalousie n'importe quel top modèle! Et je ne vous parles pas de sa paire de *humphff*, rien que ce petit souvenir me fait encore rêver... Parfaitement proportionnés, et pourtant naturels, une taille assez impressionnante, sans toutefois être excessif, qui bougeaient si gracieusement à chacun de ses mouvements... Je crois que j'ai failli aller la rejoindre dans l'eau, mais mon instinct me dicta de ne rien en faire...
    C'est alors qu'elle se tourna vers moi, et me repéra, son regards dur me glaça sur place, et je ne pus m'enfuir. Et son visage fut la dernière chose que j'aperçus avant de sombrer dans l'inconscience, assommé. Elle aurait pu me tuer mais n'en a rien fait. Quoiqu'il en soit, cette image, terrifiante mais pourtant si belle reste collée à ma rétine. Un visage fin, un peu ovale. Un peau douce et rose, pleine de vie. Un nez à la ligne dénuée de cassure, une ligne parfaite, qui descendait sur une fine bouche, aux petites lèvres tentatrices. Une chevelure mi-longue, qui brillait d'un bleu azur, et qui cachait l'un ses yeux. Quand elle s'approcha de moi, elle repoussa sa mèche, et je pus me plonger dans son regard avant de plonger dans l'inconscience... Deux saphirs, deux bijoux, tels étaient ses prunelles. Un océan dans lequel je me serai noyé volontiers... Je crois que je pourrai tuer pour la revoir..."

    Un récit éloquent, si je puis dire... Je rajouterai que Myako à l'allure et la prestance que son rang lui demande. Du charisme pur semble se dégager d'elle... Prenez garde à elle et sa beauté fatale...

    Histoire:

    Il y a bien longtemps, dans la mystérieuse contrée de ce qui sera par la suite appelé le clan de la lumière, Scott Pilgrim sortait avec une lycéenne.

    *Musique de Zelda*


    « COUPEZ ! C’est pas la bonne histoire ! Deuxième !»

    Il y a bien longtemps, dans la mystérieuse contrée de ce qui sera par la suite appelé le clan de la lumière, Nephenee et Brom allaient avoir un enfant. Oui, c’est pas très original, mais c’est pour les besoins du narrateur.

    Le soleil était à son zénith. Une journée comme on les aimait ici. Les oiseaux chantaient, le vent soufflait entre les feuilles des arbres, les grillons grillaient, comme les saucisses. Mais bon, ça n’allait pas durer. C’était jour de fête pourtant, une ange allait enfanter. C’était rare, un événement qui n’arrive pas souvent chez eux. Les décorations étaient en place, et tout le monde était rassemblé dans la pièce, sinon autour, où l’angelot allait naitre. Et non, ce n’était pas une grange. On applaudit beaucoup, on se pressa vite autour de lui, à grand renfort de « aaaah il est trognon ! », « regardez comme il a de petit orteils ! » et autre « elle n’est pas un peu rondouillette ? ». La mère se vexa légèrement pour cette remarque, d’ailleurs.

    Mais elle allait bientôt avoir l’occasion de se vexer un peu plus. Voir de pleurer, beaucoup, beaucoup. Une porte qui s’ouvre en fracas, un courant d’air glacial qui traverse la pièce. They are here. Les Kuro-Uke. Leurs gardiens, tout bardés d’acier et de plume, symbole guerrier de la plus renommée de leurs troupes de combat. Ils sont peu, mais ils sont forts. Peu ressortent vivant de leurs entrainement, mais ceux qui y parviennent, ils envoient du gros. Ils arrivent toujours comme ça. Juste quand le cordon est coupé, quand les premiers pleurs retentissent. D’un coup. Ils prennent l’enfant, environ un sur cent, l’élève et l’adopte, selon leurs rituels qui font d’eux ce qu’ils sont. Les parents sont souvent honorés, parfois carrément heureux. Mais en général, ils pleurent la perte de leur enfant. Déjà que c’est la pinaille pour en avoir un, voila qu’on leur prend le leur des mains à la naissance. Jamais l’enfant ne connaitra sa mère, ni son père. Elle ne portera même pas leurs noms. Son seul souvenir de sa courte ancienne vie, sera son prénom. Myako. C’est Brom qui l’avait choisi, et Nephenee avait tout de suite adhéré. Après tout, Brom avait toujours de bonne idée, et il avait toujours été à l’aise avec les noms, les mots. C’est comme ça qu’il l’avait charmée, à l’époque.

    Et cette fois la, ce fut avec les joues inondées de larmes que les parents tendirent leur enfant, emmitouflés dans un drap, aux Kuro-Uke. Ils n’avaient pas dit un seul mot, laissé paraitre une émotion, une once de remord. Ils étaient faits ainsi. Brom et Nephenee ne revirent leur fille qu’à l’occasion de son deux-centième anniversaire, jour de son intronisation. Elle ne les connaissait pas, elle ne leur adressa aucun regard. Elle ne regarda personne, à vrai dire, elle s’en fichait. Seule comptait la sainte mission, la sainte croisade.

    Deux longs siècles, vingt décennies d’entrainement. Et ce ne fut pas de tout repos.

    Pas d’enfance, ou presque. Elle était en fait plongée dans un sommeil artificiel, par des chamans, nourrie durant celui-ci. Mais surtout, et c’est la le plus terrible ou le plus beau, et ce que beaucoup ignorait, ce qui provoquait la mortalité chez les futurs Kuro-Uke, ce n’était pas l’entrainement. Les anges ont vite compris certaines propriétés de leur lumière, et les plus puissants parvenaient sans mal à en contrôler l’intégralité du spectre visible, comme invisible. Et une forte exposition aux rayons gamma peut donner des choses intéressantes. Dont des enfants à trois bras et quatre yeux. Ceux qui échouaient. Les autres, avaient un métabolisme supérieur, toujours différents. Les mutations étant imprévisibles, tout était possible. Une endurance quasi infinie, une vitesse surangélique, une force à faire pâlir une barre de fer. Des trucs rigolos du genre. En général, la taille augmentait aussi, maintenant les Kuro-Uke à un minimum d’un mètre quatre vingt. Myako, par chance, passa le test le plus dur de sa nouvelle famille avec succès. Et heureusement, sinon son histoire se serait interrompue de façon… abrupte.

    C’est assez, je vous l’accorde, cruel comme procédé, n’est-ce pas ? Mais on ne recule devant rien pour la lumière. Et pour notre héroïne d’un soir, la mutation se manifesta par la suite, par la condensation de ses muscles dans un corps d’apparence commune, par des reflexes quasi instantanés, alliés à une vitesse et une souplesse permettant les esquives les plus improbables. Enfin, si elle ne portait pas son armure lourde…


    Ses vingt-cinq années d’enfance furent difficiles, au début. Un enfant n’est à la base, pas fait pour ça. Régime spécifique, mise en condition physique. Dès qu’elle put marcher, en fait. C’était progressif bien sur. Quelques minutes, qui passèrent à une poignée d’heures, qui passèrent bien vite à plusieurs poignées. Sa vie se résumait à ça. Musculation, course, musculation, combat au bâton, étirement, parcours en tout genre. Pas très folichon, mais formateur. Un entrainement dur, omniprésent, qui forgeait le corps, et surtout l’esprit. A la fin de ces vingt-cinq ans, Myakko ne pouvait répondre que d’un simple « oui », à n’importe quel ordre, aussi dégradant soit-il, venant d’un supérieur. Un soldat parfait.

    Puis vint le jour de sa trentaine.


    *****


    Je me levais à peine, aux aurores, réveillée par le son de la cloche. L’heure de l’entrainement. Je souris en pensant à ce qui m’attendait. Le souvenir lointain de mon premier véritable entrainement s’imposa dans mon esprit, comme un moribond qui essaye de s’extraire de sa tombe. Ah, et dire que j’avais un jour détesté cela. Je m’autorisai un rire clair, brisant le silence qui avait précédé le tintement du réveil. J’enfilai sans me presser mes vêtements, et sortis de ma chambre. Dans le couloir, d’autre faisait comme moi, jamais lassé de cette routine. C’était leur vie après tout. Moi, j’étais la seule et unique recrue des Kuro-Uke, et j’arborais ce statut avec un mélange d’humilité et de fierté. Chacun se rendait dans la pièce qui lui était propre, à travers la porte dimensionnelle qui envoyait celui qui l’a traversée vers un monde parallèle immense qui reflétait la personnalité de chacun, ou, tout du moins, ce qu’il en restait. Aujourd’hui, c’était Maitre Ito qui m’entrainait. Chaque recrue, depuis des temps immémoriaux, avait un Maitre référent, et d’autre qui venaient sporadiquement, pour des sessions spéciales, ou quand le référent était en mission importante. Maitre Ito était le mien, et c’était mon préféré de toute façon. J’aimais beaucoup son monde. Vert, lumineux, calme. L’endroit rêvé pour la méditation, les exercices, tout en sachant faire place à la violence de certaine session, l’adoucissant presque. Ce qui n’était pas le cas de tous les Maitres que j’avais fréquentés. Je secouai la tête, évacuant ces pensées à la limite de l’interdit. Penser du mal des Maitres, d’une manière ou d’une autre, était un pêché. Ce soir, je me flagellerai cinq fois avant de dormir. Je resserrai aussi mes deux bracelets, qui ornaient mes bras, juste en dessous des épaules. J’accueillis avec ferveur la douleur de la rédemption alors que les microlames entaillaient ma chair et faisaient couler le sang. L’auto-pénitence était la voie de l’élévation de l’âme. Je traversai enfin la porte, après avoir marché longuement dans les larges couloirs de l’immense maison qu’était le bastion des Kuro-Uke. L’air frais frappa mon visage, ainsi que la douce odeur d’herbe. Je fis quelque pas, puis tombas à genoux devant mon Maitre, la tête baissée respectueusement.

    « Maitre Ito, que votre foi vous illumine. »

    « Aspirant Myako, qu’elle vous bénisse de sa lumière. Vous pouvez vous relever, et commencer. Vous savez ce que vous avez à faire, après tout. »


    Je relevai les yeux vers lui. Un ange imposant, surtout qu’il portait la lourde armure caractéristique des Kuro-Uke. Dans son dos, son épée dépassait de derrière sa tête, et son bouclier était posé à quelques mètre de la, sur un rocher. Malgré le casque qui enserrait les côtés du visage, on pouvait devenir les traits fins d’un bel ange, au regard perçant et à la longue chevelure brune, qui descendait dans son dos, tressée d’or, pour ne pas gêner ses mouvements. Il devait avoir un peu moins du demi-millénaire, mais il était déjà compté parmi les plus puissants, qui, en général, avaient au moins le double d’année. Je posai la paume de mes mains contre le sol, ressentant brièvement l’énergie qui l’habitait, et me relevait d’un bon, commençant à courir.

    Maitre Ito avait pris son envol, et me regarda quelques instants avant de concentrer son énergie. Pas d’échauffement, apparemment. Ses mains s’illuminèrent.

    « Maintenant », soufflais-je, plus pour moi-même qu’autre chose. Je basculai mon poids en avant et roulai sur l’épaule, esquivant de peu un épieu de lumière qui se ficha dans le sol, soulevant un nuage de poussière avant d’imploser. Je reprenai ma course immédiatement, sans m’appesantir plus que ça sur la beauté de la chose. Le bombardement ne s’interromprait qu’une fois que j’aurais atteint la rivière. Je manquai de trébucher sur une pierre qui roula sous mon pied, et perdis l’équilibre. J’évitai de justesse le pieu qui fondait vers moi en roulant sur le côté, me relevant ensuite d’un bond, décalant simplement la tête pour ne pas me prendre la nouvelle attaque. Je souris, et repartis aussi vite que je le pus. Une dizaine de flèche lumineuse convergeait déjà vers moi. Pas bon. Cette fois, elles étaient verrouillées sur moi. J’interrompis ma course, courir n’aurait fait que leur permettre de me toucher plus facilement. Fermant les yeux, je visualisai l’énergie pure qui m’arrivait dessus. D’un mouvement de hanche, je frappai le milieu de la première flèche du tranchant de la main, pendant l’esquive. Aussitôt, j’écartai les jambes en un grand écart latéral, attrapant la flèche qui se trouvait exactement où était ma tête une demi seconde plus tôt. Elles se brisèrent toutes deux en une gerbe lumineuse. Roulant sur le dos, un coup de pied dévia la troisième attaque qui se ficha dans le sol, essayant encore d’atteindre sa cible, vrombissante et impuissante. Je profitai de ce mouvement pour me relever, et pâlîs devant les cinq tirs restant qui arrivaient. En même temps. Je repris ma course, réfléchissant à la meilleure manière d’éviter de me faire empaler. Je n’avais que quelques secondes de répit.

    Je me retournai d’un seul coup, plongeant en tournoyant sur moi-même dans la volée. J’avais légèrement mal calculé ma trajectoire, et une zébrure rouge s’ouvrit sur mon visage, alors que je détruisai les derniers projectiles dans un ballet de mains et de pieds. J’essuyai le sang qui coulait du revers de ma manche, et terminai de parcourir les quelques foulées qu’il me restait avant la rivière. Bondissant sur la buche qui m’y attendait, je maintins du mieux que je pouvais, c'est-à-dire, très bien, mon équilibre sur le torrent. La buche filait à une vitesse folle, et les attaques reprirent, me forçant à me pencher, lever une jambe, puis l’autre, pour éviter de perdre un membre. Les gerbes d’éclaboussure, que les micro-explosions provoquaient, avaient au moins le mérite de me rafraichir le visage. Les bruits de la chute se faisaient entendre. Ma partie préférée. La dernière attaque interceptée, je bondis, sautait de la falaise, alors que la buche s’enfonçait dans les derniers remous de la chute. J’écartai les bras, accueillant le vent avec joie, et me préparant déjà à pénétrer dans le mur d’eau qui m’attendait en bas. Sauf que je ne l’atteignis jamais.

    La douleur me coupa le souffle, et je sentis la chaleur de mon sang qui s’écoulait jurer avec le froid de la lame qui perforait de part en part ma hanche droite. Je regardai avec incompréhension cette lame enfoncée jusqu’à la garde dans mon corps, et remontant lentement la main et le bras de celui qui la tenait. Maitre Ito. Il me sourit. Une douce chaleur commença à se diffuser en moi. La douceur de la mort ? Je sombrai déjà de toute façon dans l’inconscience, sonnée par le choc brutal et cette trahison qui perforait mon cœur comme un poison sournois.

    Je me réveillai sur la berge. Ma blessure s’était refermée, et je ne ressentais maintenant qu’un bien-être étrange. A côté de moi, l’épée qui m’avait transpercée. Elle était belle, si belle. Une longue lame à l’unique tranchant, dont l’estoc était recourbé, formant une courbure mortelle. La garde était ouvragée, et représentait un soleil dont les rayons s’enroulaient sur la poignée, se terminant au pommeau, orné d’un saphir taillé, dont le bleu rappelait celui de mes yeux. Je tendis la main vers elle, et elle sembla résonner avec mon corps lorsque je la touchais. Un rayonnement de joie m’envahit. Surprise, je retirai ma main, et il disparut. Il revint dès que je prenais l’arme, et il explosa quand je la retirai du sable de la grève.


    « C’est magnifique n’est-ce pas ? »

    Je me retournai, en position de combat. Maitre Ito arrivait en souriant, chargée d’une armure et d’un massif bouclier.

    « Excuse moi pour le coup de tout à l’heure, mais l’arme d’une Kuro-Uke doit d‘abord faire couler le sang de son propriétaire. Ainsi, elle t’appartiendra à jamais. Voici ton armure et ton bouclier, qui te serviront par la suite. Tu leur dois un entretien sans faille. Bon anniversaire, Aspirante Myako.»

    Je me détendis en comprenant que cela faisait partie de mon entrainement, et l’épine glacée qui distillait son poison se dissipa. Je pris les présents, et tout commença à devenir intéressant.



    L’armure était loin d’être aussi classe que celle qu’elle aurait une fois son entrainement finie, et le bouclier aussi, mais l’épée était celle qui partagerait l’ensemble de sa longue vie. Elle vivait et mourrait avec elle. Ragnell, c'était son nom. L’armure et le pavois gigantesque était surtout la pour l’habituer à ce que ce serait plus tard, et commencer son entrainement au style de combat rangé qu’ils utilisaient quand ils combattaient tous ensemble. En effet, se rajoutèrent à sa formation des cours de stratégie, d’infiltration, d’espionnage, d’imitation calligraphique, et j’en passe. L’apprentissage de la magie débuta dès sa première manifestation. Comme tous les Kuro-Uke, Myako maitriserait à merveille la magie de la lumière, et elle trouverait peut-être d’autres voies. Les ténèbres étant principalement destructrice, elles ne font pas vraiment la maille contre la magie lumineuse pure. Soin, protection comme attaque, illusion, invisibilité… tant de possibilité ! Surtout couplée à l’art des runes, glyphes et enchantement pour lesquels Myako montra très vite une certaine habilité. Très pratique cette merdouille. On pose la glyphe, quelqu’un la touche, et ça fait un truc marrant. Genre une explosion, une colonne de flamme, une tempête, une trombe d’eau… Ou un bruit de pet. Même si c’est vachement moins destructeur sur un champ de bataille que le reste. Et puis c’était kikoo dans la vie de tous les jours. Après tout, toutes les portes de la demeure des Kuro-Uke était enchantée d’un glyphe qui ouvrait la porte dès qu’on s‘en approchait. On s’amusait parfois à lever la main en même temps que la porte s’ouvrait, en prononçant une phrase rituelle du fond des âges. « Je ressens un grand trouble dans la Lumière. »

    Un siècle plus tard, et rien n’avait changé. Toujours les mêmes combats. Pourtant, Myako ne se plaignait pas. C’était normal, c’étais sa vie, c’était sa mission. Elle vivrait toute sa vie pour cette mission, et mourrait pour elle.

    *****

    « Tiens la mieux que ça. Ta prise n’est pas assez assurée. »

    Le regard dur de Maitre Kygo me fixait. Il avait raison. La dureté de l’entrainement me faisait relâcher mes muscles, qui peinaient devant l’effort. Cela faisait deux semaines que j'étais ici. Je n’avais rien mangé depuis, à peine bu, et pu somnoler quand Maitre Kygo me laissait quelques minutes de répits. Mes réserves de magie, dont je m’étais servie pour entretenir mon corps était vide, et maintenant, le tiraillement de mes muscles à chaque mouvement me rappelait sans cesse l’odieux traitement que je leur avais infligés. Je réaffirmai ma prise en grimaçant de douleur.

    « Bien, reprenons. »

    Son épée, comme toujours depuis deux semaines, fondit vers moi. Je levai mon épée à l’oblique, parant et déviant le coup. Puis le deuxième, le troisième, et tout ceux qui suivirent. Le souffle court et le feu de la souffrance se diffusant en moi, je tentai une contre attaque, presque désespérée. Raté. Maitre Kygo bloqua la lame de son bouclier, et son épée s’arrêta à deux centimètres de ma gorge.

    « Ce n’est pas suffisant. Vous auriez à peine pu tuer un diablotin avec une attaque pareille. »

    Je baissai les yeux, avant de dévier rageusement la lame. Je l’aimais beaucoup moins que Maitre Ito. Lui aurait été plus doux avec moi, et m’aurait montré mes erreurs à chaque fois, m’expliquant ce qui n’allait pas. La, on me rejetait juste mes échecs en pleine figure, comme une bile acide, qui corrodait mon assurance. Je reprenai l’assaut, alors que la fureur montait en moi. Il sourit, et continua de se défendre comme si mes coups n’étaient qu’une simple brise sur sa lame. Cette suffisance, pourtant justifiée, me sortait maintenant par les yeux. Oubliant les barrières du rang, je le vis comme un ennemi. Il devait mourir, et je devais le tuer. Mes attaques se firent plus oppressantes, mes coups, plus violents. Un regard surpris, mais fier, croisa le mien, qui s’était embrasé de colère. Ca allait chier !

    Ma position voutée se changea en une posture de combat assurée, mes appuis étaient bons, ma garde était ferme. Le combat reprenait. Des réserves d’énergie dont je ne soupçonnais pas l’existence alimentaient de nouveau chaque cellule de mon corps. Taille, tranche, estoc, parade, coup de bouclier, tranche, tranche, taille, les coups s’enchainaient à une vitesse folle, alors que Maitre Kygo reculait. Je ne me savais pas capable d’une telle puissance, à vrai dire, mais cela me redonnait confiance. Encore un peu plus, et je pourrais le battre. Feintant une attaque sur le côté, je lâchai mon bouclier pour frapper mon adversaire au plexus, ce qui ouvrit sa garde. Ma lame se précipita dans l’ouverture béante… et… Et rien. Ma lame était plantée à côté de moi, et moi j’étais suspendue dans les airs, soulevée par le bras de Maitre Kygo, qui affichait une mine satisfaite.


    « Eh bien, vous voyez quand vous voulez. L’entrainement est terminé, vous m’avez montré ce que je voulais voir. »

    J’avais été prétentieuse de croire que je pourrais le battre, mais apparemment, j’avais réussi un test.

    *****



    Après cent cinquante ans de labeur, elle intégra la troupe en tant que recrue, s’entrainant avec eux, se fondant dans l’esprit du groupe. Un esprit qui créait une muraille sans faille dans les batailles rangées, un rempart de bouclier, d’armure, de lance et de lame. Myako apprit avec chacun des autres Kuro-Uke ses forces, ses faiblesses, gagnant avec fierté des soldats confirmés ou subisant de cuisantes défaites contre d’autre. Mais ses échecs n’étaient jamais punis. Pas besoin, en fait. Les Kuro-Uke étaient ainsi fait. Fiers, une défaite équivalait à un affront, et ils s’empressaient de s’entrainer de leur côté pour ne plus perdre ainsi. C’était comme ça. Entrainement, victoire, cool. Entrainement, défaites, pas cool, donc entrainement, jusqu’à ce que la première relation se vérifie. Ils combattaient souvent, passant par des portes de transfert pour se tatanner contre le futur clan des ténèbres. En deux cents ans, Myako étaient une vraie Kuro-Uke. Ne lui restait que sa dernière épreuve. Gaebolg. C’était comme ça qu’on le nommait.

    Un dragon millénaire. Oui, sinon c’est tafiole. Une créature extrêmement puissante au service des Kuro-Uke. Le vaincre sans le tuer, c’était son épreuve. Un duel d’endurance. Enfin, pour lui. Elle, elle avait le droit de mourir, puisque de toute façon, si elle avait le droit de mourir. Parce que de toute façon, si elle échouait, elle serait exclue du clan. Et en général, l’humiliation était tellement grande que l’ange banni se suicidait, en s’engouffrant seul dans une porte, armé de sa seule épée, et tuait le plus d’ennemis avant d’être submergé par le nombre. L’air était sec dans la petite pièce sombre dans laquelle je me trouvais. J’étais prête. Je le savais au plus profond de mon cœur. Devant moi, mon arme, bichonnée par les plus grands forgerons, mon armure, qui cette fois ci resterait au placard, et mon bouclier. J’avais besoin de mobilité, mais le bouclier m’était tout de même indispensable. Vecteur parfait pour mes pouvoirs de protection, il augmentait considérablement la vitesse d’élévation de mon champ d’énergie.

    La porte s’ouvrit, laissant la lumière du zénith envahir la pièce. Je sortis l’arme de son fourreau, attrapai mon bouclier, et sortis, resplendissante de puissance. Une gigantesque arène, des gradins pleins d’ange et autres de leurs alliés venus assister à ce spectacle sans pareil. La terre battue tourbillonnait autour de moi à mesure que j’appelai ma puissance et mon aura. Je m’arrêtai au centre, sur un petit cercle de métal. Il se mit à résonner et vibrer avec mon pouvoir, m’élevant à la vue de chacun. En face de moi, à au moins trois cent mètres, sur la plus haute tribune, le patriarche Kuro Uke, Grand Maitre Eon leva le poing dans ma direction. Je brandis mon épée vers lui, répondant à ce salut. La porte sous la tribune s’ouvrit.
    Oh ça, il était beau. Des écailles d’or étincelantes, des yeux qui auraient fait rougir de jalousie des rubis, des ailes gigantesques, actionnées par des muscles puissants. Un être parfait, fort, intelligent. Un adversaire à ma hauteur, en bref.

    Le cercle redescendit au sol, alors que le dragon était entré pleinement dans l’arène. Il était loin, mais je sentais son souffle chaud d’ici. Je souris. Enfin, ça devenais intéressant. Trois petits coups légers, sur le sol. Trois petits nuages de poussières, trois petits trous étaient apparu dans la terre battue.


    « Let’s rocks ! »

    Les auras explosèrent, et mon cri se mêla à son rugissement, et au tonnerre d’encouragement des spectateurs, déchirant le temps et l’espace. Le duel, pouvait commencer.

    Le nuage de poussière ne s’était pas dissipé que nous nous élancions l’un contre l’autre, toutes griffes et épée sortie. Le cliquètement de l’os contre l’acier se fit entendre une bonne vingtaine de fois avant que les spectateurs puissent voir quelque chose au combat. J’étais heureuse, en vérité. Mon sang bouillonnait d’allégresse alors que mon corps vibrait de ce combat titanesque. Car même si le combat semblait faible et dénué de toute forme de puissance, puisque les coups du dragon ne me faisaient pas reculer, la force mise en jeu à chaque coup aurait suffi à détruire le mur d’un château fort. Je levai mon bouclier, aussi bien physique que magique, alors que Gaebolg ouvrait sa large gueule pour déversait sur moi un torrent de flamme dont le blanc trahissait l’intensité. Okay, ça rigole pas des genoux. Je bondis en arrière pour esquiver un coup de patte circulaire, et toisai mon adversaire du regard. Ses propres yeux me renvoyaient la rage de vaincre, vaincre pour la lumière, et voir si j’en étais digne. Et je l’étais, de mon point de vue. Je pris mon envol alors que mes ailes lumineuses prenaient forme dans mon dos, symbole de notre puissance et de notre rang. J’étais maintenant plus mobile, plus efficace, après ce bref échange pour évaluer mon challenge. J’étais aussi plus vulnérable, car garder ses appuis en volant est bien moins facile que d’encaisser l’équivalent d’une charge d’un troupeau de buffle affolé au sol. Parce que ça, c’est de la roupie de sansonnet à côté.

    Je plongeai à droite alors qu’il tentait de faire de moi son déjeuner, et je lui décochai un coup sur l’épaule, ayant passé sa garde. Ma lame rebondit sans effet sur l’épaisse cuirasse d’écaille d’or qui recouvrait le saurien. Je jurai intérieurement. Pourtant, j’avais déjà vu l’affrontement d’un ou deux apprentis Kuro Uke par le passé, alors que j’étais toute jeune. J’avais déjà constaté que ce genre d’attaque était sans effet. Mais je voulais vérifier. Et pour réussir à affaiblir la bête, je devais faire couler son sang sans pour autant toucher un point vital de son anatomie. Même si ce dernier point semblait tout à fait irréalisable, puisque malgré le nombre de candidat, le dragon était toujours dans le monde des vivants. A moins que la puissance magie curative ait toujours réussie à sauver le mastodonte. Je survolai le dos du monstre, repérant les cicatrices infligés par prédécesseurs. C’était là que je devais frapper. Je crus que passer hors de portée de ses griffes et sa gueule me rendrait intouchable. Grave erreur. Sa queue, beaucoup plus flexible que je le pensais, me cueillit alors que je dépassais la jointure de ses ailes, me projetant contre le mur à l’autre bout de l’arène, accompagnée de l’exclamation de surprise de la foule. Je pris appuis sur la pierre et retournai au combat, traversant la vague de feu que Gaebolg m’envoyait alors qu’il prenait son envol. Pas bon. Autant la créature était pataude au sol, autant elle était la maitresse des cieux une fois ces grandes ailes en mouvement. La masse d’air déplacée par son vol tait déjà en soi un bouclier très efficace contre les attaques. L’attaquer par en dessous était du suicide. J’interrompais mon attaque pour monter à la verticale, toujours sous le feu de ses tirs. Les boules de feu rebondissaient sur mon bouclier, et les colonnes de flamme ne faisaient que me réchauffer, bien protégée derrière ma magie. Mais bon, on ne se battait plus au même niveau qu’avant. A ce stade de puissance, et au vue de l’énergie magique mise en jeu, je ne pouvais me permettre de me battre plus d’une heure avant d’être trop épuisée pour continuer. Brève échéance, il est vrai.

    Parvenue à sa hauteur, le combat reprit. Cette fois, j’abaissai mes boucliers et prenai de la vitesse alors que je zigzaguais dans les airs. Il me décocha un coup de patte que je n’esquivai pas, au contraire. Pointant directement ma lame vers son attaque, il s’épingla tout seul l’épée dans la paume. Il grogna, mais il avait connu pire. J’avais fait couler son sang, je pouvais le faire, ainsi que je n’en doutais point depuis le début de cet affrontement. Je tentai tant bien que mal de me maintenir à ma lame malgré le choc, mais je dus lâcher prise alors qu’il secouait violement sa patte. Et je lâchai prise… sans mon épée. Je rugis de colère, autant contre moi que contre lui. Idiote. C’était le mot. Il sourit, dévoilant ses crocs luisants. Il savait que j’aurais bien plus de mal sans elle. Dans ma main apparut une épée, faite de magie et de lumière, qui assurait l’intérim. Mais ça revenait à demander à un lycéen d’effectuer le travail d’un bac+7, en comparaison. Je me calmai en mordant ma main, et le liquide chaud qui s’échappa de ma blessure me remit les idées en place. La plaie se referma d’une simple pensée, et je repris l’assaut. Objectif Lame. La récupérer à tout prix. Mais Gaebolg le savait, lui aussi. Il tenait maintenant sa patte contre lui, dans une zone dangereuse pour moi. Avais-je le choix, cela dit ? Je devais trouver.

    Massant mon énergie, une boule lumineuse commença à se former dans le creux circulaire au centre de mon bouclier. Car il ne servait pas qu’à me défendre. La sphère semblait jouir d’une vie propre, tournoyant sur elle-même de plus en plus vite alors que la magie s’accumulait. Bien sûr, il savait ce qui allait se passer. C’était une attaque commune aux Kuro-Uke, puisque les boucliers étaient standardisés. Mais on fait avec ce qu’on a. Il fit entendre son rugissement, avant de projeter une nouvelle colonne de flamme vers moi. Je fis alors quelque chose de complètement suicidaire, je crois. Enveloppant mon bouclier de lumière, je l’envoyai loin devant moi, tournoyant comme un boomerang. Poussé par la magie, il filait droit vers Gaebolg, qui ne le vit pas, trop focalisé sur moi. Parce que sans mon bouclier, je n’avais pu ériger mes défenses suffisamment vite, et mon esquive ne suffit pas. Mon bras gauche était maintenant à nu, alors que le tissu le recouvrant tombait en cendre. Une vilaine brûlure magique, amortie heureusement par mon bouclier, même faible, rampait maintenant le long du membre. Ce n’était pas handicapant, si bien que je ne pris la peine de la soigner, malgré la douleur atroce que cela diffusait dans l’ensemble de mon corps. Une autre boule de lumière apparut dans ma main, et je la pointai vers le dragon.

    « Kaméhaméhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa »

    Je fus moi-même surprise par ce cri, ignorant sa provenance, mais l’effet était le même. Un rayon blanc fusa de ma main, et fondit sur le dragon, qui encaissa en le bloquant avec sa patte. Mais j’avais toujours mon petit coup fourré.

    « Et le deuxième ! »

    Le bouclier était alors sous son ventre exposé, partie la plus faible. Le deuxième rayon, beaucoup plus puissant, manqua de lui perforer l’abdomen. La puissance du coup le fit hoqueter, et son flot de flamme s’interrompit immédiatement. Je m’élançai alors aussitôt vers sa patte, arrachant l’épée de son derme écailleux. Je m’écartai immédiatement, évitant un coup de serre qui faillit bien me trancher en deux. D’un mouvement sec, j’enlevai le sang qui maculait ma lame, et repris le combat. Enfin, je crus reprendre le combat. De la chance, j’avais beaucoup de chance. Il faisait noir, chaud et humide. A quelques centimètres, et les crocs du mastodonte auraient courtés ma vie de quelques millénaires. Il claqua plusieurs fois des dents en essayant de me pousser avec sa langue. Mes cheveux se collait à mon visage, j’étais gluante, et l’odeur fétide qui emplissait la gueule du monstre faillit me faire vomir. Mais c’était ma vie qui était en jeu, et je n’allais pas la perdre comme ça. Serrant mon épée contre moi, je me débattis pour échapper à sa langue. Quelques brûlures magiques la calmèrent un peu, et le dragon changea de tactique. Il m’avala, tout simplement. Pressée contre les muscles de sa gorge, à moitié asphyxiée alors que je m’éloignais de ces deux immenses soufflets qu’étaient ses poumons, j’atterris dans son estomac. Je vomis, cette fois. Mais j’avais à nouveau le contrôle de mes mouvements, car l’organe aurait pu en contenir une vingtaine comme moi, voire plus. Mais je devais faire vite, trouver une solution, et sortir d’ici. La panique étreignait mon cœur et mes poumons. Enfin, surtout les poumons à mesure que le peu d’oxygène contenu par la cavité s’épuisait. Des mouches noires commençaient à apparaître devant mes yeux, signe d’un proche évanouissement. Et si cela arrivait, j’étais morte.

    Je n’avais pas le choix. C’était risqué, mais il le fallait. Chargeant ma magie dans ma main et dans ma lame, je la plantai dans l’estomac, terrible scalpel qui ouvrit la cavité. Je trouvai la peau, et déchirai une ouverture vers la salvation. Le cris de douleur du dragon le fit vibrer et me rendit presque sourde. Mais je m’engouffrai dans le trou, utilisant l’énergie de ma main pour refermer la blessure à l’estomac, mortelle à long terme, mais laissai le sang couler, m’arrangeant juste pour que ses viscères ne s’en échappe pas. Les cris de surprises et d’admirations m’indiquèrent que peu estimait que j’étais encore en vie. Je souris. J’avais encore l’avantage, et je commençai à harceler la bête en plantant mon épée un peu partout sur son corps, surtout là où les cicatrices étaient déjà présente. Il perdit de l’altitude en regagnant sa rage. J’avais profité de ce temps, maintenant, il allait me le faire payer. Il commença à attaquer, dans une tempête de serre, de croc et de griffe, que je peinais à esquiver et à parer. L’intensité des coups augmentait avec le temps, alors que la douleur alimentait sa rage. Bientôt, je fus moi-même couverte de sang, suite aux chocs et diverses coupures. Il retomba lourdement sur le sol, fatigué de se maintenir en vol. C’était ma chance, j’esquivai un énième coup de gueule d’une roulade en vol, et plantai mon épée chargée de chaleur et de lumière à la base de son épaule, et filai de toute mes force le long de son dos, dessinant une large zébrure rouge sur l’or de ses écailles, qui commençait déjà à déborder de sang. Et puis, schkling !

    Je contemplai sa queue. Elle aussi était couverte de sang, mais pas le même. Puisque cette fois, l’appendice, terminée par une pointe, dépassait de mon abdomen à moi. Œil pour œil, dent pour dent hein ? Je lâchai mon épée et mon bouclier, tentant tant bien que mal d’endiguer le fluide vermeil qui s’échappait de la blessure béante. Je m’écrasai au sol quand la queue retomba. Il n’avait pas eu l’énergie de me décrocher de son cinquième appendice, et heureusement. Sinon, le flot de sans aurait été tel que je n’avais pu tenir plus de quelques secondes. Je restai au sol, respirant difficilement, mais toujours en vie.

    Le souffle de mon adversaire était plus calme. Savait-il qu’il avait gagné ? Mais les exclamations du public m’apprirent une nouvelle qui me fit sourire avant de sombrer moi-même dans l’inconscience. Il avait perdu trop de sang avant moi, et avait rejoint Morphée avant moi. J’étais la gagnante, j’étais une Kuro-Uke, une vraie.

    Bienvenue dans la Grande Famille.

    *****

    Trois jour après, Myako était sacrée Kuro-Uke en grande pompe, sous les yeux émus de ses parents, qui la revoyaient enfin. Même si la puissante ange ne leur accorda pas plus d’importance qu’aux autres, ne les connaissant pas, et s’en fichait royalement maintenant. Devant l’assemblée, elle reçut son armure d’or, ornée de plume et de diverses gravures, et son bouclier massif, et pourtant finement ouvragés. Une merveille.

    Depuis, trois cents ans de combat, et toujours d’entrainement, ont passé. Les évènements les plus marquants ayant été narrés, je vais m’arrêter ici. Maintenant, Myako continue son combat contre le clan des ténèbres sur Endora. Sa dernière mission est un secret pour vous. On verra bien ce que ce sera bien assez tôt.







    Caractère:

    Parlons maintenant de son caractère. C’est le truc le plus difficile à écrire. Toujours beaucoup à dire, mais on ne parvient jamais à tout mettre. Les articulations entre les différentes parties sont capillotractés, et la première phrase ressemble souvent à « Ce qui marque le plus en voyant XXXX, c’est blablabla ».

    Et bien, NON ! Révolte ! *sonnerie de cor* Je vais donc commencer ainsi :

    « Ce qui marque le moins en voyant Myako, c’est avant tout… » Ouais, en fait, c’est pas viable. Réfléchis bon sang ! Trouve un truc, mais rompt cette chaine éternelle ! Ah, j’ai trouvé ! Enfin, l’idée n’est pas à proprement parler de moi… Mais j’suis le premier à m’en servir dans une fiche !

    Moins dix avant J-C, et quand je dis ça, je ne veux pas dire qu’il fait plus froid devant Vandamme que derrière. La légion avançait dans la forêt, doucement, mais surement. Le camp barbare n’était plus très loin, et le sang allait bientôt coller. Marcus et Titus, deux légionnaire, avançait coude à coude, leur pilum dans les mains. Marc et Titus sont jeunes, ils sont forts, ils sont intelligents, même si c’est moins sur. Mais cette fiche ne raconte pas leur histoire.

    La classe. Oui, la classe. Aussi bien ce début ridicule, que Myako. Pourtant, elle s’en fiche un peu, d’avoir la classe, mais c’était inné. Pas toujours très pratique pour passer inaperçue, d’ailleurs, quand les trois quarts des regards se tournent vers elle quand elle rentre dans une pièce. Okey, c’est une belle gosse, mais ça ne fait pas tout. Myako est ce qu’on pourrait appeler, dans le jargon lycanthrope, une alpha. Tout, dans ses gestes, les rares paroles qu’elle prononcera, dans sa prestance, exhale une volonté de fer et un esprit dominateur. Elle a été élevée éduquée et formée pour ça. Quand elle dicte, on s’exécute, quand elle parle, on l’écoute. Et le tout avec une fascination proche de l’adoration. Enfin, les esprits forts peuvent y résister. Elle peut faire croire à des soldats en armure blanche que ce ne sont pas les gnomes qu’ils recherchent, et cela sans problème, si vous voyez ce que je veux dire.

    Myako est très simple. Elle n’a qu’un seul objectif : l’avènement de la lumière. Le reste, elle s’en fiche, mais alors totalement. Manger n’est qu’un besoin et non un plaisir, les loisirs ça sert à rien, et le sexe (pour le plaisir, bien entendu) elle s’assoit dessus. Si je puis me permettre, bien entendu. Ses supérieurs lui donnent une mission, elle l’exécute. Point barre. Un peu comme un robot. Oui, c’est le mot, un robot. Mettez vous sur son chemin, et elle vous carbonisera sur place, aidez la, et elle vous récompensera d’une manière ou d’une autre. One goal at the same time. Elle ne ressent pas grand-chose. La satisfaction du travail bien fait, la colère divine qui l’étreint quand elle assiste à un acte pas très éthique, la contrariété quand quelque chose ne vas pas en son sens, et de la détermination. Surtout. Elle ferait presque tout et n’importe quoi pour réussir son objectif, tant que cela ne va pas contre son éducation.

    Je crois qu’on a fait le tour, et je n’avais jamais créé un perso aussi simple à ce niveau, je crois !




    Trucs à savoir:


    Monture: Nope, Chuck Testa.
    Signe spécial : Nope, Chuck Testa.
    Clan : Lumière
    Pouvoirs: Maîtrise de la lumière offensive, curative et défensive, vol, glyphes et charmes d'enchantement.
    Côté: Bien
    Classe: Magelame, oui, encore.

    Code : (♫ Lisez le règlement ♫) j'ai pas envie d'aller rechercher encore, tu m'en veux pas trop j'espère (a).
    Ancien Endorien : Je crois que non.
    Où avez-vous connu le fow ? Vika, oui encore elle. Elle est vraiment partout ! Esclaffer de sodomite alors. -_-" *va se pendre*




Dernière édition par Myako le Jeu 3 Nov - 20:43, édité 26 fois
Myako
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 13:02

Bonjour.
Rien que le début ne me donne pas du tout envie de lire la suite. Arrange toi comme tu peux (ou comme tu veux), mais applique toi s'il te plait.
Shaara
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 13:23

moi j'aime bien, c'est tout de toi la description, ou c'est inspiré ? ^^
Max
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 13:28

Oui, commencer par critiquer le style d'écriture de quelqu'un pour quelque private joke pour l'admin, ce n'est pas ce que j'appellerais de la courtoisie. Ou, tout du moins, il y a un ton et une manière à adopter. Si ce n'était pas un reroll, et que je ne connaissais pas le fofo, je serais déjà partie.

Merci Max, c'est tout de moi la description. J'vais essayer de l'améliorer un peu parce que je la trouve plutôt courte :s.
Myako
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 13:28

Alors, pas que je veuille me défendre, mais quand j'ai posté mon message il n'y avait pas encore de description.
Sur ce, je vous laisse.
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 13:30

Hum, ton message disait clairement "Pour le moment y'a rien, mais vu comment c'est parti, la suite va être nulle."
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 13:31

C'est toi qui l'a déduit.
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 13:35

Disons cela alors =).

La suite ce soir, la jdois preparer mes tps u_u.
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 13:40

je comprends rien à votre conversation...
mais si j'aime bien le style de la description (je demainder parcequ'il me semblait avoir vu déjà quelque chose dans le genre, un bouquin ou je ne sais plus quoi... mais c'est peut être moi qui délire xD), par contre j'ai du mal avec... l'endroit où tu as connu le fo (même si tu te pends après).
d'abord ça s'écrit enculer, ensuite "enculer de rire" je ne vois pas ce que ça peut vouloir dire, et puis, je ne crois pas que ça soit nécessaire on est quand même sur un forum rpg, et en plus dans une présentation de personnage !
mais peut être suis je coincée parce qu'on m'a répété petite que "dire des gros mots c'est pas bien !"...
alors je t'en prie, si tu tiens tant que cela à cette réponse (bien que je le déplore), offre nous au moins une périphrase digne de la chute de reins de ton perso !
Max
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 13:45

C'est une private joke adressée à Kara et son copain. Cherche sur google "MER IL ET FOU" ou "Enkuler de rire", tu verras la référence. Après, je peux parfaitement comprendre qu'on me demande/qu'on pense qu'il faut que je l'enlève. Disons qu'étant déjà sur le fofo (Vika) j'avais pas envie de me repeter =).
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 13:58

oui oui, je savais que tu étais vika, mais bon pour moi ça change rien... après, désolée de ne pas avoir les références nécessaires pour comprendre la "private joke"...

édit : après avoir recherché sur internet : effectivement, je n'étais pas au courrant... quelles jolies fautes ! c'est malheureux qu'ils soient de plus en plus nombreux à écrire comme ça...
Max
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 14:00

Et oui... La France va mal xD !
Myako
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 16:35

Bon alors j'ai pas tout cerner de votre début de conversation, mais j'admets que comme pour le petit rayon de soleil la description me dit quelque chose ^^
Bre sinon fiche à finir \o/
Nihasa
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyDim 9 Oct - 19:29

Mais ! Pourquoi tout le monde a cette impression >.
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyLun 10 Oct - 0:01

C'est quoi ce ton aggressif Shaara Oo ?
J'ai loupé un truc, où ?...

Et voilà le k enlevé mon petit, je lirai ça et validerai ultérieurement o/
Kara
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyLun 10 Oct - 7:42

C'était un malentendu. Moi aussi je l'avais pris comme ça, alors que c'était pas son intention. Merci pour le k, et me manque encore l'histoire. =)
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyLun 10 Oct - 22:55

Je voulais paaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaas TT_TT Sad
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyMar 11 Oct - 23:55

La plus grosse erreur de sa vie. U_u !
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyMer 12 Oct - 14:36

Haha x)

Bon tu la finis cette fiche oui ?!
Kara
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyVen 14 Oct - 18:17

Hey, je fais pas une fiche de tafiole! Je prends mon temps pour l’écrire, et je vais la relire deux trois fois pour changer des trucs je pense. (Et puis jsuis pas rentré chez moi depuis lundi)

Myako est en train de devenir une ange masochiste complètement malade, mais à part ça tout va bien.
Vika
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyLun 17 Oct - 11:49

Bah... pour changer des perso qui sont sur ce forum Wink XD
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyLun 17 Oct - 17:51

C'est pas faux Ewa... C'est pas faux x')
Kara
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyLun 17 Oct - 18:33

Première partie de l'histoire postée. Le reste tardera pas... Quand j'aurais réviser un peu mes partiels !
Myako
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyLun 17 Oct - 18:51

ouahou ! OO
et c'est que la première partie !?! tu nous fais un roman ! xD
par contre, je finirai de lire plus tard... après avoir révidé mes cours, même si je n'ai pas de partiels ^^" !
Aïla
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] EmptyLun 17 Oct - 19:00

Je fais pas dans la dentelle =D. Et puis, ce perso me tiens à coeur, je sais pas trop pour quoi, du coup j'ai envie de charger son BG pour réussir à la cerner avant de commencer le rp, histoire de pas faire n'importe quoi avec.
Myako
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MessageSujet: Re: Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Myako, histoire qu'on arrête de dire que les anges sont des tafioles. [en cours] Empty

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